Courte queue se paye par courte queue !
Accusé à tort et victime de la BiCIM SA masqué derrière son syndicat, Amadou Gagny Lah attaque à la justice cette banque et réclame une réparation de 5 milliards de francs CFA.
Voilà où la violation de la loi et les attaques inutiles contre les personnes peuvent conduire.
En effet, la BICIM SA avait accordé un prêt commercial à la société PRETROGIO représentée au Mali par FOODSTOP dont le PDG est Amadou Gagny Lah. La BICIM a livré des camions remorques et citernes à PRETROGIO et suivait les rentrées des camions. Avec la crise sécuritaires, les corridors devenant de plus en plus dangereux, plusieurs camions ont été arrêtés en attendant l’amélioration de la situation. Avec la crise politique, économique et sécuritaire que le Mali traverse, la société PRETROGIO a demandé une relecture des closes que la BICIM a rejeté malgré les termes des conventions commerciales. Pourtant les termes du contrat prévoyait les cas de forces majeures que la banque ne reconnaitra pas.
Les raisons : BICIM qui est une filiale de la banque française BNP Paribas est en voie de fermeture et a même vendu ces 5 filiales dont celle du Mali. Alors la banque veut liquider ces clients pour se barrer. Déjà les cadres de la BICIM cherche à se caser. Sa directrice commerciale est occupe déjà le poste de Directrice à UBA Mali. Comme elle beaucoup d’autres cadres ont plié bagages et ont cherché refuge ailleurs. La BICIM n’a donc rien à perdre et se fiche des clauses additionnelles du contrat de financement et va jusqu’à tenter de liquider certains gris clients dont Amadou Lah
Très pressée pour débarquer, la banque a saisit le tribunal pour opérer des nantissements sur les garanties de la société PRETROGIO dont des TF et des biens immobiliers inscrits au registre immobilier du Mali. Mieux pour faire monter la barre plus haut, la BICIM a saisi le pôle économique pour la même affaire dont l’aboutissement est désormais entre la main de la banque détenteur des garanties qu’elle a liquidité. Malgré les préjudices sur son client, ils sont donc quitte !
Mais à la grande surprise de PRETROGIO, la banque dans une intention d’humiliation et de dénigrement, pousse son Syndicat à saisir à nouveau le pôle économique par une dénonciation qui a fait le choux gras d’une certaine presse. Des chiffres sont avancés en violation du secret bancaire et des termes du contrat. Mieux, tout est fait pour ignorer les nantissements des garanties comme si, Monsieur Lah devait encore ce montant à BICIM.
Manifestement, il ya une mauvaise fois du côté de la banque et des préjudices sont portés contre un client. La banque vie de crédit et démarche les gros clients de la trame de Lah. Mais de là à étaler sur la place publique une histoire purement commercial entre banque et client, il y avait un pas à ne pas franchir.
De sources bien introduite, le nommé Lah a saisi le tribunal de la commune III par une plainte contre le DG de la BICIM et le Président du syndicat de la même banque. Mr Lah réclame que le droit soir dit et que la banque répare ses préjudices.
La BICIM et ses syndicalistes dans de sale draps car en plus de mettre la crédibilité de la banque en cause, la violation des secrets bancaires est sévèrement puni au Mali tout comme les dénonciations calomnieuses sur un dossier totalement vide.
A suivre !
Source: Maligo actu