C’est une bataille entre anciens de la BHM et de la BMS. En effet, des batailles rangées et des règlements de compte seraient le quotidien au niveau de la direction de cette banque qui traine des centaines de procès devant les juridictions maliennes. Selon nos sources, il y a un véritable malaise au niveau de la direction depuis l’arrivée d’Alioune Coulibaly, actuel Directeur général. Ancien directeur de la Banque de l’habitat du Mali (BHM), engloutie depuis par la BMS-SA, Alioune Coulibaly, propulsé à la tête de la banque au détriment de Sofiana Diarra, actuel directeur des moyens généraux, voudrait faire la part belle à ses compagnons de la BHM.

C’est un climat délétère qui prévaut au sein de la Banque malienne pour la solidarité (BMS.SA) quelques mois après le changement de la direction de la société.

C’est une bataille entre anciens de la BHM et de la BMS. En effet, des batailles rangées et des règlements de compte seraient le quotidien au niveau de la direction de cette banque qui traine des centaines de procès devant les juridictions maliennes. Selon nos sources, il y a un véritable malaise au niveau de la direction depuis l’arrivée d’Alioune Coulibaly, actuel Directeur général. Ancien directeur de la Banque de l’habitat du Mali (BHM), engloutie depuis par la BMS-SA, Alioune Coulibaly, propulsé à la tête de la banque au détriment de Sofiana Diarra, actuel directeur des moyens généraux, voudrait faire la part belle à ses compagnons de la BHM.

Si sa collaboration avec Sofiana ne serait pas la meilleure du monde pour qui sait que le second était intéressé par le poste de Directeur général, Alioune Coulibaly aurait commencé à positionner ses anciens camarades de la BHM à des postes stratégiques. Ceci n’est pas du goût de certains cadres de la BMS-SA qui voient aux anciens de la BHM des imposteurs et des arrivistes.

Des sources internes confient que cette situation n’est pas nouvelle. Elle aurait toujours existée, mais les anciens de la BHM n’ont jamais eu le courage d’extérioriser leur mécontentement au temps de Babaly BA.

Du côté de la banque, c’est le silence radio sur la situation. Aujourd’hui, où la banque peine à maintenir le cap, ces petits crocs-en-jambe risquent d’avoir raison des résultats de l’exploitation.

H.M

Source: Azalaï Express