Près de deux mois après la mise en place du gouvernement, le Premier ministre a instruit hier à ses ministres de déclarer leurs biens, au plus tard le 5 décembre, devant la Cour suprême comme le stipulent la Constitution de 1992 toujours en vigueur et la Charte de la Transition. Cette invite de Moctar Ouane laisse croire que le président Bah N’Daw, le vice-président Assimi Goïta et lui-même ont sacrifié à cette exigence comme l’y pressent certaines associations notamment l’AMLCDF.

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Source : l’Indépendant