Le Conseil de paix et de sécurité de l’Union africaine (UA) a été mis sur pied pour la prévention, la gestion et la résolution des conflits. Elle a confié la priorité de la gestion de la crise malienne à la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO), l’organisation sous-régionale, plus apte à résoudre ce genre de conflits.

Mais hélas ! On sait qu’entre anciens des organisations internationales ou sous-régionales, on se supporte toujours, de peur que le scénario ne se reproduise dans leur pays respectif. Or la nouvelle stratégie de coup d’État de la CEDEAO, c’est de faire démissionner de force le président, ensuite mettre une transition tout en plaçant leur pion.

Source : L’Inter de Bamako