Entre le Haut représentant du chef de l’Etat pour le centre et le Premier ministre, ce n’est pas la véritable entente en ce moment.

 

Le premier aurait demandé, ainsi que nous l’écrivions dans une de nos précédentes parutions, la coquette somme de 300 millions pour s’installer, voyager, aller à l’intérieur et à l’extérieur, travailler. Le second, comme nombre de nos compatriotes, du reste, a trouvé ce montant exorbitant et l’a réduit à 80 millions.

À prendre ou à laisser. Une décision qui a fortement déplu à l’ancien président de la Transition qui occupe déjà des bureaux qui coûtent au contribuable 4 millions par mois. Des charges extraordinaires et inexplicables pour aucun résultat pour l’instant. À part la conférence de presse qu’il a organisée et au cours de laquelle il a parlé de négociation avec les terroristes. Dioncounda, depuis sa nomination, n’a posé aucun acte rassurant ou justifiant ces dépenses astronomiques. Pire, même pour les visites à Mopti, c’est Diango qu’il envoie.

La Rédaction

Nouvelle Libération