Au cours de l’émission dite ‘’via à vis’’ de la radio « Peace FM » Moussa Sinko Coulibaly, bien que convoqué au Camp I pour des propos jugés atteindre à la sureté de l’état, a clamé haut et fort que le président IBK a enterré le pays. La récente double attaque perpétrée à Boulkessi et à Mondoro ; le Dialogue national inclusif ; l’attaque du siège de la Minusma à Sevaré par la population ont été avancé comme des raisons avancées, pour le jeune le désormais ex ami de celui qu’il traite d’incapable pour gérer le pays. Les réactions des internautes n’ont pas tardé sur cette guerre entre IBK et son jadis protégé. Votre Facebookan du jour !

Madouni : Sinko : IBK a enterré le pays, d’accord. Et que dis-tu de votre coup de force de 2012 contre ATT qui nous a fait retourner 20 ans en arrière et nous a plongés dans ce chaos que nous vivons présentement ??? C’est toujours facile d’accuser les uns et les autres. Vous faites la honte du Mali Sinko, Haya Sanogo, Konaré et autres. Bande d’incapables, d’ignorants et de bordels. L’époque de la pluie et du beau temps est terminée pour vous. Imaginez les milliards que vous avez dilapidés dans l’alcool et les fesses, entre 2012 et 2013.

Le Citoyen : pauvre hypocrite, Satan et traître. Tu as osé sacrifier l’uniforme de l’armée pour l’argent et tu as le culot de gueuler. Quelle bassesse Mr Sinko! Seuls des médiocres et ignorants vont te suivre. Tu as tué le Mali et IBK est en train de l’enterrer. Au fait, tu as raison de te pavaner puisque tu n’es pas là où tu devrais être : la PRISON.

Zié : c’est IBK que Moussa Sinko s’est activement démêlé pour mettre au pouvoir en 2012. Donc, il y a eu de la légèreté dans le choix du candidat de CNDRE, sinon les amis de Boua savaient tous qu’il était incapable de gérer le pays. Donc M. Sinko tu es aussi comptable de cette situation.

Markel Bijou: l’heure n’est pas aux querelles intestines pour le pouvoir (se maintenir ou le conquérir). L’heure est à l’unité nationale pour sauver la patrie!

Moussa Sinko : tu n’as pas honte de parler? Lâche que tu es ! Ce n’est pas toi qui as aidé IBK en 2013 pour être le président ? Et aujourd’hui tu nous raconte des histoires ? Si tu parles de détournement public tu penses être à l’abri ? Tu as volé combien de millions au temps de Sanogo ?

Ali TOURE : Moussa Sinko taisez-vous ! Vous avez trahi Sanogo devant nous tous ici, pour suivre IBK et maintenant vous venez de trahir IBK aussi. Vous êtes vraiment malhonnête. Dieu va vous trahir aussi.

Mounirou : Ce Sinko est un anarchiste. Je me demande ce qu’il veut réellement, sur qui il compte dans tout cela. Oui, IBK est incapable, mais croyez-vous qu’à cette période un coup de d’État ou coup de force arrangera le MALI ? La réponse est non. Moi-même j’en suis conscient qu’IBK n’est pas l’homme qu’il faut pour le MALI, il faut un Diarra ou un Mariko, mais dommage on est obligé d’attendre la fin de ses 5 ans pour faire un autre choix. En tout cas, tout sauf un coup d’État. Ça jamais, il ne faut même pas essayer. L’existence du pays est en jeu. Donc, l’heure est à SE dévouer à l’union solide quel qu’en soit le motif, d’abord on va essayer de sauver la patrie, après vous allez continuer avec vos guerres de sorcellerie. Mais d’abord unissez-vous tous sans condition pour sauver le pays.

Nama Sylla : dans un pays sérieux, la place de Sinko, c’est en prison. C’est un élément fort du Coup d’Etat en 2012. C’est un ex putschiste. En plus de cela, il se permet de tenir des propos qui incitent à la haine. La justice malienne doit arrêter Moussa Sinko.

Popolo : le Peuple Malien n’en peut plus. Ce qui échappe aux aboyeurs assermentés, c’est que le Mali compte désormais des millions de Moussa Sinko Coulibaly à travers tout le pays. Le Mali ne se limite pas à Bamako. Le Mali ne se limitera plus jamais aux bavardages nocturnes des « hommes politiques » corrompus à Bamako. Ceux-là qui vivent nuit et jour sur le dos du Peuple malien, notamment des paysans et des éleveurs. Pour se disculper, par personnes interposées, on nous renvoie toujours aux mêmes discours sur les réseaux sociaux, juste pour tromper le peuple, notamment la jeunesse : Franzi nous empêche. Franzi nous dit de faire Franzi-Cfa. Mais retournons à nos anciens cauris ! Dans la logique des faits, Franzi ne peut rien dicter au Mali. Soyez-en certains. Mais quand chaque année, au mois de décembre, tu vas mendier ta subsistance (« mangements », santé, école, sécurité) auprès des puissants financiers et armuriers ventrus du monde, amateurs de cigares et de bien d’autres choses, que veux-tu qu’ils te disent ? Sortons donc de cette mendicité humiliante dans la gouvernance de notre Maliba. Contre la corruption et la mauvaise gouvernance, quand un Peuple veut, il PEUT.

Fanta Diarra : un soldat indiscipliné qui trahi dans un premier temps son serment envers sa patrie n’a plus rien à dire ! Ça ne se comprend pas ses propos ? Mais un conseil M. Sinko, le Mali est plus fort que vous et vos intentions contre le régime en place. Vive IBK et vive le Mali.

Gangaran : toi tu fais partie des médiocres militaires qui ont tué ce pays avec le Coup d’Etat le plus absurde de l’histoire de l’humanité. IBK même, si tout n’est pas rose et que nous avions beaucoup d’espoir qu’il redressera ce pays, a posé des actes salutaires. Il pouvait et devait faire mieux. Pour autant, il a commencé à doter l’armée de moyens: équipements, habillement, meilleurs salaires, primes, soutien aux familles des combattants DCD sur le champ de l’honneur, prise en charge de leurs ayants droit jusqu’à leur majorité (frais santé et scolaire). Valorisation des salaires des fonctionnaires et des retraités. Valorisation des perdiems. Hier un chauffeur avait 2 000 FCF/jour aujourd’hui 20 000 FCFA/jour. L’Etat est une continuité, nous ne devons pas souhaiter qu’IBK se casse les dents. Nous devons l’aider pour que celui qui viendra après puisse au moins trouver qu’il y a les bases pour une économie saine et un développement. Si tout s’effondre, nous recommencerons à zéro et cela ne doit pas être le cas. Sinko à la chance d’être dehors, sa place est au trou à la place de Sanogo

Amadou Arby Maiga : un sortant de Saint-Cyr qui abandonne sa vocation pour faire de la politique de la manière la plus abjecte. Des sorties avec des discours de vas-en-guerre n’arrangent personne aujourd’hui au Mali. Il ne doit ménager aucun effort pour la stabilité du Mali. Mais, pas venir remuer le couteau dans une plaie déjà infectée que des hommes et des femmes de bonne foi cherchent à cicatriser.

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