Vendredi 26 juin 2020, l’Office de radiodiffusion télévision du Mali (ORTM) et l’Agence malienne de presse et de publicité (AMAP) ont reçu des lots de masques lavables de la main de la princesse Esther Kamatari. La princesse, avec l’aide de la Coopérative Kotognonkotala des femmes productrices de savon de Kalabambougou,a offert 450 masques et de savon. L’ORTM a reçu 300 masques plus deux cartons de savons et l’AMAP 150 masques et deux cartons de savon.

La cérémonie a eu lieu en présence du Directeur général Bréhima Touré et du Directeur de la radio nationale, Mahamadou Koné. Selon la princesse le but de ce geste est de mieux équiper les journalistes.Car ce sont eux les premiers à être sur le terrain pour acquérir des informations et ils sont les plus exposés à la pandémie. Elle félicite et fait la publicité du travail des artisans maliens.

Selon nos sources, la Princesse a signalé que ce sont des produits 100 % maliens.

 

Koulikoro : remise de diplôme à l’école d’Etat-major

La 32e promotion de l’école d’état-major du centre d’instruction Boubacar Sada Sy de Koulikoro a fait sa sortie ce vendredi 26 juin 2020. Cette promotion comptait vingt (20) officiers, dont 13 officiers du Mali, un du Congo, un de la Côte d’Ivoire, deux de la Guinée Conakry, un du Niger, un du Sénégal et un du Tchad. Avec une moyenne de 14,30/20, le capitaine Elhadj N’diaye du Sénégal sort major de sa promotion. Ces officiers ont été formés au cours de 9 mois sur des modules de topographie, de droit international humanitaire, d’administration et de la tactique, entre autres. Ce diplôme leur permettrait d’avoir la compétence et les qualités techniques requises de planification opérationnelle et de conseil d’état-major conformément au standard universel.Le directeur de l’école d’état-major, le colonel Youssouf Cissé et les formateurs ont rassuré le secrétaire général du MDAC, le général de Division Ibrahima Fané. Ils lui ont garanti la qualité de la formation donnée dans cette école. Ces officiers sortantsont donc prêts pour mener à bien les missions qui leur seront confiées, a martelé le général Fané.À savoir que l’école d’état-major a été créée en 1997. Sa devise, c’est « ’ s’instruire pour mieux conseiller »’. À ce jour, elle a formé 740 officiers d’une trentaine de pays africains depuis sa création à nos jours.

En dehors de la cérémonie de sortie les officiers d’état-major, le Chef d’Etat-Major Général Adjoint des Armées, le général de brigade Abdramane Baby a rencontré le personnel et les Élèves Officiers d’Active de l’EMIA. Il en a profité pour visiter les sites de relocalisation et les anciens locaux de l’EMIA. La cérémonie de remise de diplôme était dirigée par le secrétaire général du ministère de la Défense et des Anciens Combattants, le général de division Ibrahima Fané en présence d’autres chefs militaires, des autorités administratives, coutumières, religieuses et locales.

Dinangourou : deux morts et quatre blessés

Dans la nuit du vendredi 26 juin 2020, des terroristes ont attaqué le poste des FAMa de Dinangourou, dans le cercle de Koro, région de Mopti. C’était aux environs de 23 h cette attaque a fait deux morts du côté desFAMa et quatre autres ont été blessés.

Douanes : un narcotrafiquant nigérien saisi

Un Nigérien du nom de Jude Ezeh a été arrêté par les douaniers de la Brigade mobile d’intervention (BMI), ce vendredi 26 juin 2020. Après avoir fouillé le monsieur, il a été confirmé qu’il transportait 28 morceaux de cocaïnes, vers la Conakry, dans son ventre. Selon nos sources, la marchandise devait être livrée au Nigeria. Un agent des services nous a fait savoir que « le test réalisé par les services techniques de la douane a révélé que l’intéressé transportait de la cocaïne pure », il a précisé que le contrevenant est conscient de la gravité des faits qui lui sont reprochés.

Après avoir fait expulser la cocaïne de son ventre, les agents ont eu 500 g de cocaïne.Ce qui pouvait lui fortuné d’une somme de plus de 50 millions de francs. Les agents de la BMI se réjouissent de cette action qu’ils ont accomplie. Une intervention qui a coïncidé avec la Journée internationale de lutte contre les narcotrafiquants (26 juin).

Bankass : inauguration du siège local de la Croix rouge malienne

Le siège local de la croix rouge malienne a été inauguré ce mercredi 24 juin 2020 à Bankass. La construction de ce bâtiment a coûté plus de 40 millions de francs CFA. D’une superficie de 800 m2, il est constitué d’une salle de réunion, 3 bureaux, une salle radio, 2 toilettes internes et 2 autres à l’extérieur et il est fourni en électricité par l’énergie solaire. L’inauguration a eu lieu en présence d’une délégation du Comité international de la Croix rouge (CICR), du chef de la sous-délégation du CICR Mopti, AissamiAbdoun, du président du comité local de Bankass, AllayeYaro et de plusieurs autres grandes personnalités. Cette inauguration avait pour but d’apporter plus de sécurité à Bankass. La cérémonie a pris fin avec la visite du bâtiment.

Des véhicules non immatriculés et des armes à feu saisis par les forces de l’ordre nationales

Depuis un certain temps avec la découverte de sites d’orpaillage à N’Tahaka, Gao est devenue le lieu d’affinité de toutes sortes d’individus.

Six véhicules non immatriculés, sept armes à feu dont cinq pistolets mitrailleurs (PM), un pistolet automatique (PA) et un fusil de chasse ont été saisis par les forces conjointes maliennes.Ils ont été remis à la brigade territoriale de la gendarmerie de Gao. C’était suite à une patrouille hebdomadaire de grande envergure dans la ville de Gao. Cette mission, menée le mercredi 24 juin 2020, avait pour but de fouiller les véhicules, chercher et saisir des armes et « appréhender les bandits de toute espèce qui troublent la quiétude des populations ». Elle était conduite par le lieutenant Mohammed Lamine Cissé. Une section de l’armée de terre, de la gendarmerie, de la police nationale et le commandement du secteur 1 de l’opération MALIKO ont pris part à cette mission.Le commandant de brigade de la gendarmerie de Gao, le Major Mamadou Konaté,explique que « cette patrouille est un moyen sûr de contrôler le flux des véhicules et de déceler les différents nids de bandits ».

 

Source: Le Pays