moussa-ag-infahi-directeur-general-police-malienne

Dans notre précédente livraison, nous évoquions l’élaboration frauduleuse de listes additives dans le cadre du recrutement de 170 éléments. Selon toute évidence, la hiérarchie a pris la révélation au sérieux et par conséquent, décidé d’y voir clair. Pour des raisons évidentes, nous nous abstenons d’en dire davantage en attendant la mise en place d’une commission de travail chargée de faire toute la lumière sur l’affaire et aussi, de moraliser le secteur.

Il nous revient dans la même veine, que doit prendre part à laquelle doit désormais le Ministère de la Défense et des anciens combattants.

Il, est de notoriété publique dans notre pays, que le recrutement de la police viole toutes les règles. Pour être sûr de passer, il faut avoir des mentors ou de l’argent frais. Conséquence : la police est devenue le refuge idéal pour une catégorie de Maliens. Et résultat : la corruption à grande échelle dans certains commissariats sont entre autres maux dont souffre ce corps. Le constat est que dans toutes les structures de la police nationale, de véritables réseaux travaillent à faire échouer la volonté de transparence et de justice prônée par les autorités.

A suivre…

La redaction