Les élections communales du Conseil National de la Jeunesse de la commune V sont prévues pour le 14 novembre prochain. A cet effet, plus d’une dizaine de jeunes sont en lice pour être président de cette organisation. Parmi eux, un jeune très ambitieux du nom de Brahima Diarra alias Ambassadeur se fait distinguer. Il était face à la presse en début de semaine avec son équipe de campagne pour dévoiler son programme. C’était à la Direction Régionale de la Jeunesse de ladite commune, en présence de plusieurs anciens membres.

Du 26 au 28 novembre prochain, va se tenir à Ménaka, le 6ème congrès du Conseil national de la jeunesse (CNJ). A cet effet, toutes les bases se mobilisent, dans les communes et les capitales régionales pour mettre en place leur  bureau. Les jeunes de la commune V ne sont pas restés en marge. Le renouvellement de leur instance est prévu pour le 14 novembre prochain. Parmi la dizaine de candidats, le jeune Brahima Diarra Alias Ambassadeur qui a le soutien de plusieurs membres du bureau sortant, était face à la presse pour dévoiler ses ambitions pour sa commune.

Parlant de sa candidature, il fera savoir que sa motivation c’est pour apporter sa touche à l’édifice du développement de sa commune. Pour lui, la jeunesse doit être au centre du développement, de la gouvernance afin que demain elle soit apte à diriger.

Expliquant son  programme, Brahima Diarra a indiqué qu’il s’agit, entre autres de la lutte contre la délinquance en milieu scolaire, du renforcement des capacités des jeunes,  des organisations et fédérations des groupements de jeunes dans la commune, de s’engager auprès des institutions pour une meilleure prise en charge des doléances des jeunes. A cela s’ajoutent la participation citoyenne, la culture,  le sport, l’environnement et la santé. Pour le candidat Brahima Diarra, une fois élu, il organisera un forum pour diagnostiquer les problèmes et atouts de la commune V ; pour identifier  les associations et organisations de jeunes ayant les même objectifs afin de les fédérer ; créer un cadre de dialogue direct entre les autorités et les jeunes (chef de quartiers, élus, et les responsables des services administratives. En cas de défaite, il se dit « prêt à accompagner celui qui lui aura été préféré, mais qu’il n’est pas prêt de laisser sa commune entre les mains d’un incompétent » a-t-il conclu.

Flani SORA

Source: NOTRE VOIE