Aminata Soumaré, une ancienne fonctionnaire à la Présidence de la République, lors de la transition dirigée par Dioncounda Traoré, qui a déclaré avoir été  » enlevée, séquestrée et violée  » pendant plusieurs jours par les éléments de l’ex-junte putschiste, a rejeté la Loi d’entente nationale et réclamé justice. C’était lors de sa comparution à la barre, hier jeudi, à la Cour d’appel.

Lire la suite dans l’Indépendant

Source : l’Indépendant