Ils sont 45 jeunes à avoir reçu leur attestation des mains de Bilaly Dicko, fondateur de «Leaders de demain». A l’issue de six semaines de formation en leadership et en développement personnel. C’était samedi dernier, à l’Institut des sciences politiques, Relations internationales et communication (ISPRIC).

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«Il n’existe pas de bons ou de mauvais jeunes. Ils ont tous besoin d’être bien orientés et bien suivis», a indiqué Bilal Dicko, dans son discours d’ouverture de la cérémonie. Par ces mots, le président et fondateur de Leaders de Demain explique pourquoi son organisation offre aux jeunes des formations pour leur insertion professionnelle.

Organisées sous forme d’ateliers d’initiation, les formations, à Leaders de Demain, sont un cas d’école pratique qui prépare les jeunes à affronter le monde avec un esprit de leaders et d’entrepreneurs. L’exemple de Fatoumata Koné en est une parfaite illustration.

Aujourd’hui chef d’entreprise, elle est une des 45 récipiendaires. Elle a tenu à témoigner de la pertinence de la formation reçue. Car, elle qui a fondé son entreprise grâce à la formation dispensée par la Fondation Leaders de demain, souligne le professionnalisme des formateurs. Pour terminer, Fatoumata a exhorté ses camarades jeunes à se former afin de faciliter leur intégration dans la vie professionnelle.

Leaders de demain est une organisation à but non lucratif, créée en septembre 2015 par Bilaly Dicko. Un jeune entrepreneur social, coach en développement personnel et leadership. L’objectif principal de l’organisation est de préparer les jeunes à faire face aux exigences du monde professionnel. L’atteinte de cet objectif passe par la formation en leadership, en entrepreneuriat et par l’accompagnement des jeunes dans le monde professionnel.

En 2016, Leaders de demain a permis à 25 jeunes de bénéficier d’une formation en entrepreneuriat. Parmi eux, neuf ont eu un financement pour créer leurs propres entreprises. 25 autres jeunes ont bénéficié d’un stage professionnel et 15 membres de l’organisation ont décroché, cette année, un contrat de travail.

 

La rédaction