Comme à l’accoutumée, ils étaient des milliers de fidèles musulmans à se rendre en Arabie Saoudite pour effectuer le 5ème pilier de l’islam. Cette année, plusieurs personnalités maliennes dont des membres du gouvernement y étaient au rendez-vous.

Il s’agit notamment de Mme N’Diaye Ramatoulaye Diallo (ministre de la Culture) Mme Safia Boly (ministre de la Promotion de l’Investissement privé, des Petites et Moyennes Entreprises et de l’Entreprenariat national) Mme LelentaHawa Baba Bah (ministre des Mines et du Pétrole) et Mme Kamissa Camara (ministre de l’Économie numérique et de la Prospective).

En plus, on pouvait citer le nom d’autres anciens ministres dont Tiémoko Sangaré, non moins président de l’Adema-PASJ et l’ancien ministre de la Fonction Publique, Badi Ould Gafoud. Sans oublier l’Honorable Mamadou Diarrassouba et N’Fa Simpara, député de Banamba, le chef d’Etat-major particulier du président de la République, le Général de Division, Oumar Daou dit Baron, et la directrice de Cabinet de la Première Dame, Mme Sidibé.

A ceux-là s’ajoute l’Ambassadrice du Mali à Libreville, au Gabon, Mme Sacko Amy Kané, Ancien gouverneur du district de Bamako, la comédienne Maïmouna Hélène Diarra, Adama Koité (directeur général adjoint du Service National des Jeunes).

L’actuel président du Conseil d’administration de la BNDA, Moussa Alassane Diallo, et le réalisateur Boubacar Sidibé, ont également effectué le pèlerinage aux Lieux Saints de l’Islam.

Selon plusieurs pèlerins de la filière gouvernementale, le Hadj 2019 a été l’une des meilleures éditions du point de vue de l’organisation. Ils ajoutent aussi que, le gouvernement a fait des efforts remarquables en termes d’hébergement à Médine qu’à la Mecque, car ils étaient logés dans l’un des meilleurs hôtels.

Quant aux bagages aussi, la Maison du Hadj a vraiment joué son rôle pour que les pèlerins puissent récupérer leurs effets à temps et aucune perte n’a été enregistrée pour le moment.

Rappelons que le dernier vol des pèlerins de la filière gouvernementale est arrivé à Bamako, la semaine dernière.

Mahamadou Sarré

Source: L’Observatoire