Toujours fidèle à sa mission d’accompagner les jeunes, l’association LMD, au cours d’une formation organisée le 27 septembre dernier a formé vingt jeunes sur comment développer un business à partir de zéro franc.

Au service des jeunes du Mali, l’association poursuit ses efforts d’accompagnement pour une jeune autonome et créatrice. Cette aide à la formation s’inscrit dans les visions de la jeune organisation qui entend outiller gratuitement les jeunes des compétences indispensables à leur réussite.

Pour la session du 27 septembre dernier, les vingt (20) ont été sélectionnés à partir des formulaires d’inscription émis en ligne. Dans une totale transparence, les vingt premiers inscrits ont été acceptés pour y participer dans les locaux de SOUD-Consulting un partenaire à l’association.

A entendre sa présidente, l’objectif de ces séries de formation est de compenser les connaissances déjà acquises par les jeunes dans les universités et autres, pour semer un déclic en eux afin de mieux aborder leur vie professionnelle. Ainsi, ce module sur comment démarrer un business à partir de zéro franc enseigné, s’inscrit parfaitement dans cette vision. Elle vise à aider les jeunes à mieux gérer les ressources financières tout en les orientant vers les secteurs porteurs notamment le web-business.

Elle a soutenu aussi que cette session n’est que la continuité du cours des six modules techniques dispensés précédemment en août dernier axés sur l’éducation financière, une discipline qui manque au système éducatif en général et de l’enseignement supérieur en particulier au Mali, selon ses constats.

Des jeunes ainsi formés sont orientés vers des niches porteuses qu’ils pourront exploiter pour développer des business afin de réduire considérablement le taux de chômage et la précarité dans leur rang.

Pour la présidente, les efforts de l’association LMD ne manqueront par pour une nouvelle jeunesse autonome et prête à contribuer à la création de richesse pour l’économie du Mali.

L’association LMD, des jeunes au service de la jeunesse !

Ousmane Mariko

 

Source: L’Informateur