Le vent de la lutte contre la corruption qui souffle au Mali en ce moment est pour certains la boîte a pandore ouverte ou une opportunité à jamais qu’ils saisissent pour salir, mentir, diffamer les personnes auxquelles ils en veulent à travers des journaux, des réseaux de communication ou tout autre moyen pernicieux pour atteindre leur cible.

Par la teneur subversive de certains articles de journaux qui se prêtent à ce genre d’exercice le droit de s’informer devient indigeste et la lecture des articles mensongers et calomnieux est tout aussi dégoûtante que leurs auteurs mûs par le dessein de nuire sans aucune consistance légale.

Les articles de ces types de journaux parus sur Maître Baber GANO, Ministre de l’Intégration Africaine le traitant de délinquant financier ou de voleur pour le paiement d’une échéance du contrat d’abonnement d’assistance juridique et judiciaire et de ses modes d’exécution qui lie son cabinet d’Avocats dont il est fondateur avec l’Office du Niger rentrent dans le cadre de ce paroxysme de délation contre la personne de Me Baber GANO par des auteurs qui confondent la notion de droit d’information à la volonté de nuire à quelqu’un y compris par règlement de compte ou par l’appât d’un gain facile.

La justice qu’ils choisissent pour une telle entreprise ne peut pas être saisie par manipulation d’information pour des règlements de compte non avouées, elle joue un rôle d’équilibre et de stabilité entre les citoyens et participe à la consolidation de la démocratie et de l’Etat de droit.

Pour les faux faits exposés par les auteurs de la délation à travers un ordre de virement de 5.000.000 F CFA et un chèque de 150.000 F CFA en faveur du cabinet, le cabinet-GANO reçoit depuis 2015, date du contrat d’abonnement signé avec l’Office du Niger tous les règlements de ses factures dans ce compte ouvert à la Bank Of Africa au nom du cabinet-GANO. Il s’agit du paiement de l’échéance des mois d’Août-Septembre-Octobre et Novembre 2019 qui a été viré en règlement de la facture du cabinet signé de Me Mohamed DIOP en date du 30 juillet 2019 dans le cadre du contrat d’abonnement annuel.

Pour les 150.000 FCFA, il s’agit des frais de déplacement et d’hébergement payés par le client au cabinet pour les audiences judicaires au tribunal de Ségou dans des affaires qui opposent l’Office du Niger à des tiers pour la défense de ses intérêts prévus dans le contrat.

Le mode de paiement par virement ou par chèque, selon la pièce comptable de la DFM de l’Office du Niger à sa convenance ou le libellé du bénéficiaire au cabinet-GANO et à Me GANO, selon la mention portée relève de la DFM et n’entache à rien que c’est un paiement fait au cabinet-GANO sur la base d’une facture.

Des virements antérieurs dans le même compte en attestent cela et prouvent que la rémunération du cabinet-GANO, en contrepartie de son travail de prestation de service d’assistance juridique et judiciaire fourni à l’Office du Niger, ne peut pas être qualifiée de délinquance financière ou de vol.

Maître GANO et le cabinet-GANO ont bu à la source de la dignité et se sont lavés dans l’eau potable de la noblesse et sont prêts à œuvrer en toute circonstance et en tout lieu à la manifestation de la vérité pour la clarifier en lait de chamelle pour les besoins du droit à l’information de l’Opinion Nationale et Internationale pour laquelle ils gardent un respect dans cet exercice de démenti formel auquel ils ont été contraints devant la délation et la teneur subversive et pernicieuse des faux articles de désinformation parus dans les journaux sur la personne de Me Baber GANO.

CABINET-GANO 

 

 

Source: Le 22 Septembre