Les magistrats ne perçoivent pas 2 millions de primes.
Les magistrats ne sont pas au dessus de la loi.
Les magistrats ne sont pas de connivence avec les autorités de la transition.
Les magistrats ont obtenu tous leurs droits et avantages avant la transition, notamment sous le régime d’lBK
Les magistrats mettent en garde l’UNTM contre toute sortie visant à les discréditer.
Les magistrats estiment que la grève de l’UNTM n’a d’autres fondements que de contraindre le gouvernement à ne pas appliquer la loi de l’OCLEI sur ceux qui ont déjà volé l’argent public.
Les magistrats affirment qu’il y a des hauts responsables de l’UNTM épinglés par l’OCLEI et dont les dossiers révèlent qu’ils sont détenteurs de plusieurs bien injustifiés.
Les magistrats ne sont pas contre la presse et ne peuvent être contre les citoyens.
Les magistrats sont poursuivables mais dans le respect de la procédure
Les magistrats vont désormais sortir de leur droit de réserve pour répondre à toute posture visant à les atteindre dans leur honneur et dans leur délicatesse.
Les magistrats soutiennent que la justice constitue le dernier rempart, la digue pour éviter que la société ne s’écroule.
Les magistrats menacent de publier des documents prouvant que ceux qui font allusion aux primes des magistrats gagnent deux ou trois fois plus qu’eux.
Les magistrats rassurent que la grève en cours ne peut pas paralyser la tenue des audiences et le fonctionnement normal de la justice.
Les magistrats sont concernés par les déclarations de biens stipulées dans la loi sur l’OCLEI.
Les magistrats n’ont pas souhaité commenter les plaintes introduites contre Ras Bath, Me Tapo et Me Bathily en raison des échanges entamés par des personnalités.
Les magistrats étudient l’opportunité de poursuivre ou non tous ceux qui ont porté des accusations poignantes et outrageantes à leur encontre.
Les syndicats de magistrats sont fondés à ester en justice après avoir obtenu l’assentiment des collègues directement visés et concernés par l’infraction.
Source: ABC