Arrêtée le 10 mars dernier puis incarcérée en France dans une affaire d’« enlèvement d’enfant » qu’elle conteste, autour de la garde de sa fille, la chanteuse franco-malienne a finalement été libérée le 25 mars pour raisons médicales après avoir entamé une grève de la faim.

Rokia Traoré demeure néanmoins placée sous contrôle judiciaire avec interdiction de quitter le territoire et pourrait être extradée vers la Belgique où elle risque cinq ans de prison. C’est la première fois qu’elle s’exprime depuis sa sortie de Fleury-Mérogis.

RFI