Pour l’instant, la situation est calme à Kidal. Il faut tout faire qu’au niveau de l’éducation, les représentants de l’Etat donc les professeurs puissent revenir travailler ici. Vu que le volet sécuritaire est apaisé, on pense à d’autres choses surtout à l’éducation.

Les classes sont ouvertes pour l’instant avec des volontaires. Mais il n’y a pas encore de professeurs qui sont des fonctionnaires du ministère de l’éducation nationale sur place. C’est la raison pour laquelle, on a besoin du soutien du gouvernement pour inciter les professeurs à revenir travailler dans toute la région de Kidal.

Propos recueillis par Makan Koné

Source : Nouvelle Libération