Le Colonel Assimi Goita, président de la Transition a pris l’initiative pour la réduction du train de vie de l’État. Aussi,  d’autres mesures sont en cours pour l’apaisement social, mais le côté des membres du gouvernement est attendu.

En effet, depuis sa prise de fonction, le Colonel Assimi Goita acte des plans pour l’apaisement social. Ainsi, il a décidé, en un certain moment, de réduire son salaire à son tiers pour réduire le train de vie de l’État. En dehors de cela, des processus se présentent davantage à l’échelle nationale notamment l’étude sur le détournement du denier public, des programmes en faveur de l’agriculture, la déclaration des impôts et des taxes, etc. À l’échelle internationale, nous touchons des opportunités. Tout serait en évidence élaboré, pour l’État afin d’apaiser la tension sociale qui laisse d’énormes conséquences pour la fiabilité et également pour faire progresser l’économie. Faut-il le noter, notre pays subit des difficultés, à travers la crise multidimensionnelle qui freine continuellement le pays en général.

Cette crise menace le pays avec les problèmes qui ont causé des risques dans notre pays et dans tous les sens. Pour cela il faut impérativement chercher des solutions pour soulager la souffrance des Maliens. C’est ainsi que le Colonel Goita, Chef de l’État, s’est prôné, comme nous avons aperçu à son endroit, sur l’intérêt général en principe pour l’apaisement du climat. Il a, par la même occasion, demandé aux membres du gouvernement de faire pareil. Cependant, l’action de tout un chacun des membres du gouvernement serait attendue par le citoyen lambda. Depuis la prise de cette décision, après l’investiture du président, nous avons à peine vu le cas des membres du gouvernement. On se demande ce qui serait là pour empêcher les membres dudit gouvernement de passer à l’action. En tout cas , le mot est dans la bouche, mais l’action demeure pour longtemps. Et, par contre, ceci pourrait, en ce moment, réduire la confiance sur l’équipe de Choguel qui est sollicitée par la majeure partie des Maliens. Cependant, nous profitons de dire que le secteur éducatif est fortement en alerte ces temps-ci.

La tenue des examens de fin d’année est en question avec les Enseignants qui ont décidé d’aller à l’encontre du déroulement de ces examens. Tout porte à croire que l’article 39 est un sacerdoce que le gouvernement délaisserait d’une certaine manière. À cet effet, des grèves sont en effet anticipées dans des jours à avenir. Le climat social est, à ce sens, espacé d’une crédibilité que nous ’envisageons tous.

Lassana Sow

Source: LE COMBAT