Presqu’au même moment à Kati, disions-nous, les forces de l’ordre ont interpellé une dizaine de religieux faisant le porte-en-porte. Et parmi eux, des «peaux claires». De quoi créer la méfiance quand bien même ils ne soient pas armés.
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Après tout,Il pouvait s’agir d’éclaireurs. Informé à temps réel, le commandement de la zone militaire en question a immédiatement procédé à leur interpellation. Ils furent ainsi arrêtés et remis aux forces spéciales.
Après interrogatoires et investigations, il s’est avéré qu’ils n’étaient nullement dangereux ou associés à quelconque groupe armés et/ou djihadiste. Ils ont alors été relâchés.
Il revient aux associations religieuses et en l’occurrence, au Haut Conseil Islamique de sensibiliser les fidèles et leaders religieux en ce sens. Le moment se prête-t-il à certaines pratiques? Là est toute la question.
B.S. Diarra
source: la sentinelle