Issa Hassime Diallo a dédicacé son premier livre intitulé «Mémoire des Travaux publics de ma vie», un ouvrage de huit chapitres en trois parties de 289 pages. Cet ouvrage est la concrétisation d’une promesse que l’auteur a faite à feu président Amadou Toumani Touré (ATT) après son retour d’exil de Dakar en 2020.

 

«Cet ouvrage est la concrétisation d’une promesse que j’ai faite à ATT après son retour d’exil, à l’occasion de la visite que je lui ai rendue par l’intermédiaire de son feu frère cadet Amadou dit Ombogo Toumani Touré dit Vieux Touré», précise Issa Hassimi Diallo, auteur du livre, «Mémoire des travaux publics de ma vie», dans l’avant-propos de son ouvrage.

L’auteur explique dans son ouvrage que la disparition prématurée d’ATT l’oblige moralement à fournir des efforts en vue de tenir sa promesse à travers la rédaction de ce modeste ouvrage pour témoigner à sa façon, d’une partie des grandes œuvres d’un Homme qui a animé, autant qu’eux, ce métier d’ingénieur.

Dans cet ouvrage de 289 pages, l’auteur rappelle cette vision d’ATT : «la route du développement du Mali passe par le développement de la route».  Pour l’auteur Issa Hassimi Diallo, cette réflexion résume à elle seule l’engagement du président ATT et sa vision pour le désenclavement interne et externe du Mali.

Ce livre, un véritable chef-d’œuvre, est constitué d’une série de monographies retraçant les différents épisodes de la carrière professionnelle de l’auteur avec des illustrations évoquant la mise en œuvre de certains projets.

«Il est destiné au grand public, aux élèves, étudiants, aux politiques de façon à ce que chacun tire les enseignements utiles au progrès de cette Nation qui a tout donné à ses enfants», a indiqué Issa Hassimi Diallo, dans son livre.

L’ouvrage est le reflet ainsi que la rétrospective de la trajectoire d’un cadre de la fonction publique du Mali qui a gravi tous les échelons et les postes de l’administration centrale au bout de trente-quatre ans ; et a servi dans les zones considérées à tort, comme difficiles, éloignée et mêmes perdues, de Kayes à Inessèrine dans le cercle de Tinessako.

Kossa Maïga

 Source : Canard Déchainé